voici ce que tu n'as pas mentionné
témoignages des NDE
je fais juste un copié collé des témoignages !
rien à voir avec tes récits qui veulent rien dire
cela c'est l'experience le vie !
Je savais que j'allais mourir et que je n'y pouvais plus rien, parce que personne ne pouvait plus m'entendre... J'étais sorti de mon corps, j'en suis sûr, puisque je voyais ce corps étendu, là, sur la table d'opération. Mon âme l'avait quitté ! J'ai été d'abord très bouleversé, mais c'est alors qu'est intervenue cette lumière brillante. Au début, elle m'a paru un peu pâle, mais tout à coup il y a eu ce rayon intense. La luminosité était prodigieuse, rien à voir avec un éclair d'orage, une lumière insoutenable, voilà tout. Et cela dégageait de la chaleur, je me suis senti tout chaud.
C'était d'un blanc étincelant, tirant un peu sur le jaune - mais surtout blanc. Cela brillait formidablement, je n'arrive pas à bien le décrire. Cela éclairait tout alentour, mais cela ne m'empêchait absolument pas de voir tout le reste, la salle d'opération, le docteur et les infirmiers, tout J'y voyais très distinctement, sans être aveuglé.
Au commencement, quand la lumière est arrivée, je ne me rendais pas très bien compte de ce qui se passait; mais après, la lumière m'a demandé - enfin c'était comme si elle me demandait - si j'étais prêt à mourir. C'était comme quand on parle à quelqu'un, seulement il n'y avait personne. C'était la lumière qui me parlait, elle avait une voix.
J'imagine maintenant que cette voix qui me parlait a dû constater que je n'étais pas du tout prêt à mourir. Elle voulait simplement me mettre à l'épreuve, sans plus. Et cependant, à partir du moment où elle a commencé à me parler, je me suis senti délicieusement bien, protégé et aimé. L'amour qui émanait de la lumière est inimaginable, indescriptible. Et par-dessus le marché, elle dégageait de la gaieté ! Elle avait le sens de l'humour, je vous assure !
Donc mon expérience s’est déroulée durant cette nuit là. Je me souviens pas de tous les détails seulement que je suis partie assez vite dans une sorte de tourbillon très sombre mais dans lequel je criais parce que je ne voulais pas partir, je tendais mon bras très fort vers ma tante qui tendait elle aussi sont bras,à l’entrée du tunnel, nos mains se tenaient puis j’ai lâché prise et je suis partie vers le bout de ce "tunnel" assez court, qui tournait et je me dirigeais vers une lumière douce. je suis arrivée à l’entrée d’un grand jardin verdoyant, il y avait un grand portail ouvert et des personnes qui marchaient paisiblement. Tout était paisible..je ne me souviens pas avoir vu de ciel ou de soleil ou d’astres seulement cette herbe verte et ces personnes que je ne connaissaient pas, toutes habillées de longues robes blanches qui touchaient le sol. je me suis dirigée derrière une haie et là j’ai attendu un petit moment..un vieil homme en robe blanche et barbu s’est approché, il m’a dit je sais pourquoi tu es là mais ce n’est pas le moment. Je ne lui avais pas encore parlé mais il savait que je cherchais mon petit frère que j’avais perdu 9 ans auparavant. je voulais me diriger vers la gauche , j’apercevais une sorte de temple mais à un niveau supérieur, en hauteur..je lui ai dit, où est t-il ? Il m’a répondu, non tu ne peux pas aller la-bas, tu ne peux pas le voir, ce n’est pas encore le moment, tu dois repartir...et je suis repartie..Par contre je ne me rappelle pas du tout comment je suis revenue
Je monte à une vitesse vertigineuse dans un tunnel immense et gris-noir. Je n’ai pas peur mais suis très étonnée. Je vois, en haut, au loin, un minuscule point blanc, qui grandit. Ouf ! Me dis-je, c’est la sortie ! Et je démarque, vitesse à l’arrêt, mais sans aucun heurt, dans une superbe lumière. Immédiatement, je m’y sens bien, émerveillée. Elle est vivante, bien que je ne distingue aucune forme. C’est doux, c’est chaud, ça me porte, ça me transporte. Je suis terriblement bien. Sur ma droite, une nuit bleu-marine, pure, profonde, splendide. Tout au long de cette expérience, les couleurs seront intenses, dans leur sublime pureté, comme "éclairées de l’intérieur". Je vois quelques petits nuages qui semblent denses, bien que très légers, d’un blanc aussi pur. L’un d’eux se rapproche. Dessus, il y a une maisonette, petite et simple avec un jardinet verdoyant et très fleuri.
Il est entouré d’une petite barrière de piquets en bois bien proprement peints en blanc. La barrière est ouverte et derrière elle, il y a...comme un comité d’accueil ! Toute ma famille est là ! Les morts comme les vivants ! Tous sourient, heureux de me faire la surprise et de me voir. Nous communiquons par télépathie. Là mes souvenirs se brouillent un peu : Je crois que c’est mon père, dont la main est posée sur la barrière et qui me dit "vois, c’est ta maison, comme elle est belle !". Je suis immensément heureuse de les voir, de voir cette petite maison.
Puis, le petit nuage s’éloigne avec sa scènette. Je ne suis pas triste du tout, bien au contraire, comblée par ce que j’ai vu et de revoir mes grands-parents décédés
Hier, nous étions en famille au bord du lac. En fin de journée, mon fils de 2ans et demi a coulé sous nos yeux. Le temps de courir le repêcher, il s’est passé une quinzaine de secondes, mais difficile à dire dans ces conditions. Il a beaucoup pleuré mais il va bien.
Le soir en le couchant, je lui ai dit que j’avais eu très peur. Voici le dialogue qui s’ensuivit :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Moi aussi ai eu peur. Mais ai vu grand-papa.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Grand-papa ? C’est qui ? (en effet, personne de notre entourage ne se fait appeler ainsi)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Mais oui, grand-papa. Mamy. De Belgique.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Ah Grand-papy ? demande ma fille de 3ans et demi,
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Oui Grand-papy, répond mon fils.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Ah ? ET il t’a dit quelque chose ? lui demandé-je,
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Oui, il m a dit Nage Nage.
Voilà. Pour préciser, Grand-Papy est le grand-père de mon mari, décédé en décembre passé, en Belgique. Mon fils ne l’a vu que deux fois, dont la dernière l’été passé, à l’âge de 18 mois
Suite à une tentative de suicide suivie d’un coma de 12 jours, j’ai gardé en mémoire une vie qui dépasse tout ce que l’on m’a appris ou raconté. Je me retrouve allongé dans un lit d’hôpital, et là commence un rêve plus réel que ce texte. Je me revois flottant au dessus de mon corps face à face. Le plafond était derrière mon dos, avec un grand calme je regardais mon propre corps apparemment sans vie, maintenu par le système médical. Pour moi ce corps représentait le "déchet" de ma vie. Je pouvais voir tout le mal qu’il renfermait, je ressentais la séparation entre le mal et le bien. Mon esprit avait un niveau d’intelligence supérieur à tout. Je subissais cet état unique sans gérer quoique que ce soit. Pour moi, j’étais face à moi même, à toute une vie sur cette terre, j’étais mon propre juge, devant toutes mes conneries, devant ce corps poubelle qui pour moi n’avait aucune valeur. Quand je pense aujourd’hui à l’importance que l’on donne à ce corps (habits, chirurgie...) Je ressentais deux forces, mon corps qui s’accrochait à la vie et m’appelait pour le réintégrer, et cette autre force derrière moi qui représentait le meilleur que l’on puisse imaginer dans notre petite vie humaine. Amour, lumière, bien être, sont des mots tellement petits, faibles. Je n’avais qu’une envie, c’était de m’éloigner de ce corps qui me faisait honte, horreur, il représentait tout le négatif humain. Plus je "montais" plus je ressentais un bien être inconnu, une compréhension à tout, je possédais toutes les réponses que l’homme recherche, un savoir inattendu. Je ressentais derrière moi des présences qui m’attiraient dans cette amour inconnu de l’homme, j’avais tellement envie de quitter cette terre, de m’éloigner de ma chair pour ne plus la voir. Mais voila, je n’étais pas maître de cette situation, je retourne dans ce corps vite fait bien fait.
Conclusion : comme soeur Emmanuelle l’a dit, notre mort sera le plus beau jour de notre vie. Difficile à comprendre quand la mort est le drame le plus fort chez l’homme, la mort nous fait souffrir quand on voit disparaître un être cher. Je précise que j’ai perdu un garçon de 15 ans, comme tout bon papa, j’ai pleuré pendant deux ans cette mort, malgré tout, je ne suis qu’un homme. Cette porte ouverte sur un futur paradisiaque, m’a rendu plus ouvert, plus tolérant, et surtout, plus fort. Je me rends compte que l’homme n’a rien compris avec celui qu’il appelle "DIEU" il a tout faux. Pour moi, ce n’est pas dieu qui créa l’homme à son image, mais l’inverse, l’homme a créé Dieu a son image, pour preuve, il existe plus de 600 religions sur terre et que de drames, que de larmes pour rien !
J’ai vu un très beau gazon vert, d’un vert parfait, lumineux, harmonieux. L’herbe était parfaitement taillée, c’était très beau. J’étais là mais je ne me voyais pas, je pense que je n’avais pas de corps. Et puis des « êtres » blancs plus ou moins définis dans leur forme apparurent au loin dans cette clairière et ils s’avancèrent vers moi en riant. Il y avait devant sur une « première ligne » si l’on peut dire, des êtres de petite taille. On aurait pu dire des « enfants » et derrière eux un peu plus loin, des êtres grands, peut-être des « adultes ». Ils n’étaient pas vraiment avec un corps comme nous mais une sorte de forme qui ressemblait à un corps. Ils étaient d’un blanc transparent, lumineux et beaux. Il rayonnait d’eux leur rire clair joyeux, merveilleux...comme un carillon, très gai. Ils venaient vers moi en riant et c’était merveilleux. C’est comme si j’étais accueillie par ces êtres de lumière. J’ai été envahi à leur arrivée d’un sentiment d’Amour indescriptible avec des mots. Comment expliquer l’inexplicable ? C’était de l’Amour à l’état pur, comme je n’en ai jamais connu sur la Terre. Un amour absolu, inconditionnel, éternel pourrais- je dire, total. J’étais heureuse, très heureuse, sereine, en paix et dans une sorte de béatitude comme jamais je n’en ai connu auparavant. Les mots ne peuvent dire ce que j’ai connu dans ce moment ineffaçable de ma mémoire. Les sensations sont si puissantes et en même temps si difficiles à expliquer avec notre vocabulaire ici sur Terre. C’est une expérience inoubliable de l’Amour inconditionnel et de la Joie. Je voulais rester avec eux
et des milliers d'autres !