oeuvrer

Esprit de l'humain,voyageurs des pensées,
verbe facile dans une énergie fermée
caduc à souhaits et stériles de ses constructions
d'ou te vient se temple inutile,frustrations de tes passés,
insolences des génes;
la racine n'est elle pas le meilleur des soins afin de batir
ton propre partage!
l'oeuvre devient à cette compreenssion le remède à la guerison
droit vétu,assis installé,couché sans conscience!
des hauts sommets de jadis tant espérés,revenu dans le couloir
des etres,puise ceci et donne ton oeuvre!
la beauté s'efface de face à la beauté,la merveille s'estompe
au mirroirs voilés!
il est des endroits,des instants que les temps ne ce sont jamais
fatigués,mais de ces centres!
le chemin,le sentier,ou tout autres destinés n'est pas le point de
l'appui!
les temps de l'histoire rapels les sons et l'endroit n'est pas le choix
d'un simple hazard!
venus,acceptés,meme poussés avec un programme de richesse
alors!!
déchausse ces neufs souliers aux échanges de sandales d'argents
car l'instant est,du pied porte plus loin que le vent de la voix!
un aujourd'hui immobile l'autre dans le mouvement!
affolés,désordonnés,compromis dans la lecture,le sage tourne les
pages,d'un même livre ne coule plus la similitude d'une existence
mais de nuls droits il se fait sentence,excellent de son contraire
il rétablit le schéma,afine les parties sensibles et restaure la décadence.
de rien ni personne ne sera l'adjudance,chaudes époques dans l'insouscience
et combien fragile le poids de l'humain!
du lointain,délicieuses énergies parsemées,mélanges des institutions!
les regards ne sont que les tympans de l'éveil

Merci, c'est ...... beau.